Cop21: place aux actes
Réunies en France à l’occasion de la COP21 pour chercher et éventuellement trouver des solutions qui pourraient freiner la dégradation de la couche d’ozone et maintenir à terme le réchauffement du globe à moins de 2°C d’ici 2100, les grandes puissances principalement concernées, notammenet la France, pourrait-elle se désengager du secteur d’exploitation forestière industrielle dans le bassin du Congo?
Par Hans Ndong
- 15/12/2015 à 17:48:32 - Modifié le 14/01/2016 à 16:48:28

Les grandes puissances de ce monde se sont réunies pour chercher et éventuellement trouver des solutions qui pourraient freiner la dégradation de la couche d’ozone et maintenir à terme le réchauffement du globe à moins de 2°C d’ici 2100. Or voilà, au moment où les ministres ont pris le relais des négociations, il se trouve que certaines solutions sont économiques et géopolitiques. Pourront-ils avoir le courage de les prendre ?
C’est donc le moment de montrer la détermination des uns et des autres à protéger la planète pour les générations futures ; au-delà des belles paroles des salons feutrés.
La France, pays hôte de la COP 21, peut déjà donner l’exemple en se désengageant « du secteur d’exploitation forestière industrielle dans le bassin du Congo ».
Une mesure qui, selon certaines études, favoriserait la protection de l’écosystème, et réduirait les pertes financières énormes pour ces pays dans lesquels l’AFD est engagée.
C’est l’avis de ce collectif d’ONG occidentales et africaines qui, en marge de la COP 21, tirent la sonnette d’alarme à travers ce texte « Pour protéger le climat de la planète, la France doit se désengager du secteur d’exploitation forestière industrielle dans le bassin du Congo».
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